Bonjour à tous,
Depuis le temps que je bricole sur mes CNC, je me suis dit qu'il fallait peut-être que je m'inscrive sur ce forum.
Alors voilà, je me présente. Je m'appelle Arnaud Glin, j'ai 23 ans, et suis actuellement en école d'ingénieur aéronautique (ISAE-formation ENSICA) sur Toulouse. Tombé dans la marmite "aéromodélistique" quand j'étais petit (7ans), je suis actuellement responsable du club aéromodéliste de l'ISAE, où j’anime l’activité et forme les débutants à la construction et au pilotage. Je suis également pilote privé grâce à l’école.
Durant mon passé de modéliste, j’ai touché un peu à tout : Ayant commencé au Club des Cigognes dans l’Essone où j’ai appris avec Francis Plessier à construire mon tout premier planeur en dépron et mon premier thermique en balsa, « un affreux jojo » qui vole toujours d’ailleurs (un vétéran ) , je me suis intéressé il y a 6ans aux matériaux mous comme le dépron et le poly et à l’électrique avec la diffusion des lipos et des brushless. Pour satisfaire mon appétit farouche du « toujours plus de nouveaux petits modèles » , j’avais débuté la découpe au fil chaud traditionnel durant mes classes préparatoires. Une fois en école d’ingé, j’apprenais la méthode de stratification grâce à l’ancien président du club, et je réalisais ma première machine : une pompe à vide régulée électroniquement.
Souhaitant réaliser mes avions suivant cette nouvelle méthode, mais toujours avec l’envie de le construire rapidement mais proprement, j’ai découvert le site d’Olivier Segouin sur la découpe numérique au fil chaud. C’est alors que j’ai construit ma première machine à découpe numérique au club de l’ISAE.
Après 8 mois d’utilisation et 8 mois de belles découpes, je me suis naturellement dirigé vers sa grande sœur, la fraiseuse numérique. Celle-ci est en fin de réalisation, comme vous pouvez le voir sur la photo.
J’espère qu’elle remplira toutes mes attentes, car j’ai plein de beaux projets à réaliser dans les cartons…
J’espère que ça ne vous a pas trop endormi parce que les discours et moi, ça fait 2.
Voili voilou,
Arnaud